LA MORT DU PÈRE NOËL EN HAÏTI ( ODYSSÉE DES L'ESPRIT FORTS) Écrit par Jean louis Butherly

 


LE MOUVEMENT BOOMBA HAÏTI

( Décembre 2020)

LA MORT DU PÈRE NOËL EN HAÏTI ( ODYSSÉE DES L'ESPRIT FORTS) Écrit par Jean louis Butherly 

Un document produit en version numérique par Boomba Libertaire

Collaborateur  bénévole et étudiant  HAÏTIEN

Courriel: stillboomba282@gmail.com/

Dans le cadre de la collection: "Le Mouvement Boomba Haïti``

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Une collection fondée et dirigée par Jean Louis Butherly

Bénévole et étudiant en lettres /Haïti 1er République noire du nouveau monde

et développée en collaboration avec les autres étudiants haïtiens

Jules Carlos/ Nathan auguste/Jean Joanes / GR / Christophe /   et la liste est longue

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La mort du Père Noël en Haiti écrit  : par le plus jeune Médecin de la culture Haïtienne écrit par Jean Louis Butherly 


Plan 

Introduction 

La mort du Père noël 

La violence de la religion 

Métaphysique de la révolution Haïtienne  1791 - 1804

La Déchristianisation chrétienne de la  République d'Haïti 














« Les eaux de la religion sont en baisse et laissent derrière elles des marécages ou des étangs  les nations s’opposent de nouveau dans de vives hostilités et cherchent à se déchirer. Les sciences, cultivées sans mesure et avec la plus aveugle insouciance, émiettent et dissolvent tout ce qui était l’objet d’une ferme croyance ; les classes cultivées et les États civilisés sont balayés par un courant d’affaires magnifiquement dédaigneux. Jamais siècle ne fut plus séculier, plus pauvre d’amour et de bonté. Les milieux intellectuels ne sont plus que des phares ou des refuges au milieu de ce tourbillon d’ambitions concrètes. De jour en jour ils deviennent eux-mêmes plus instables, plus vides de pensée et d’amour. Tout est au service de la barbarie approchante, tout, y compris l’art et la science de ce temps. »

NIETZSCHE, Considérations inactuelles, III. § 4

















introduction 


En compagnie avec beaucoup de livre dans ma jeunesse( la Bible , les écrits des prophètes ,la construction du Christianisme , Antéchrist de Nietzsche suivi de Ainsi du merveilleux réalisme haïtien  de Jacques Stephen Alexis assassiné par les « Tonton macoutes » Je veux dire dans ma jeunesse à Terrier rouge j’avais dans ma tête un buffet de connaissance pour construire mon existence. Dans cette, tristesse  de crise d'adolescence que j'étais, pauvre économique , mais riche socialement ( au sens faible du mot )qui ne peut rien avoir en ce moment extrême qui était le jour de la noël . En grandissant je comprends que le père noël n'existe pas ;  aujourd'hui  surtout ,avec ce qui ce passe actuellement dans mon pays à savoir la mort de la connaissance .Je me  suis dit, il est grand temps que cette fiction soit mort dans mon pays ( Haïti 1ere république noire du nouveau monde ) 

Pour beaucoup, en décembre sans<< le père noël >> la vie serait une horreur. A se prendre pour autres que ce qu’ils sont, à s’imaginer dans une configuration différente de celle du réel, les hommes évitent le tragique, certes, mais passent à côté d’eux-mêmes. Je ne méprise pas la croyance en cette fiction, je ne les trouve ni ridicules ni pitoyables, mais je désespère qu’ils préfèrent les fictions apaisantes des enfants aux certitudes cruelles des attitudes des chefs d'état ou les responsables politique dans ce pays. Plutôt la foi qui apaise que la raison qui soucie ,même au prix d’un perpétuel infantilisme mental : voilà une opération d'un étudiant libre , d'un esprit fort  ,de passe-passe métaphysique à un coût monstrueux !

Dès lors je ressens ce qui toujours monte du plus profond de moi quand j’assiste à l’évidence d’une aliénation mentale dans mon pays. On nous fait croire à des sottise faute de culture, nous mangeons des saletés parce que nous refusons de lire les livres pour comprendre le monde nous devons prioriser des  livres au lieu d'assister a un cérémonie de prêtre nous devons lire , lire mes chères amies. une compassion pour l’abusé doublée d’une violente colère contre ceux qui les

trompent avec constance. Pas de haine pour l’agenouillé, mais une certitude de ne jamais pactiser avec ceux qui les invitent à cette position humiliante et les y entretiennent. Qui pourrait mépriser des victimes ? Et comment ne pas combattre leurs bourreaux? La misère spirituelle génère le renoncement à soi; elle vaut les misères sexuelles, mentales, politiques( le cas d'Haïti par exemple), intellectuelles et autres. Etrange comme le spectacle de l’aliénation du voisin fait sourire celui qui passe à côté de la sienne. Le chrétien qui mange du poisson le vendredi sourit du vodoyizan qui refuse d'aller à la messe et les adventiste qui refusent de consommer le porc [... ]Le sous développement qui dodeline devant le mur des Lamentations regarde avec étonnement le chrétien  haïtien agenouillé sur un prie-Dieu, pendant que le `` Vodoyizan'' installe avec un ´´tchatcha ´´ dans la direction de La Mecque. Pourtant, aucun ne conclut que la paille dans l’œil du voisin vaut bien la poutre dans le sien. Et que l’esprit critique, si pertinent et toujours bienvenu quand il s’agit d’autrui, gagnerait à être étendu à sa propre gouverne. La crédulité des Haïtiens dépasse ce qu’on imagine à l'heure actuelle. Leur désir de ne pas voir l’évidence, leur envie d’un spectacle plus réjouissant, même s’il relève de la plus absolue des fictions ( le père noël n'existe pas vraiment), leur volonté d’aveuglement ne connaît pas de limites. C’est un moyen pour les occidentaux de gagner beaucoup d'argent , autrement dit c'est un moyen pour les grands magasins du monde pour les riches de faire fortune .En tant que honnête Homme Plutôt des fables, des fictions, des mythes, des histoires pour enfants. Je préfère que cette chose qu'on appelle père noël mort . Puisque je ne peux plus assister au dévoilement de la cruauté du réel qui contraint à supporter l’évidence tragique du monde.  Pour conjurer la mort, de ce père noël je vous invite a lire des livre scientifique pour développer le pays car un pays sous développé est un ensemble de gens sous développé . Pour pouvoir résoudre le problème de L'éducation , la faim la misère la délinquance politique l'autonomie de la religion des prêtres des pasteurs ou je ne sais pas quoi je vous invite maintenant de commencer à désinstaller un ensemble d'application installer dans la tête de nos enfants .Car la croyance en une chose qui n'est pas vrai dure comme disait l'autre .Pour commencer je vous invite à tué le père noël Des maintenant  on va le supprime et on peut le supprimer car le père noël est une représentation mental . Nous allons tous mourir Donc , vivons ensemble , développer le pays ensemble on n'a pas besoin des fictions des épopées , des tragédies pour vivre Avoir à mourir ne concerne que les mortels : le croyant dans les divers type de mythe, lui, naïf et niais, sait qu’il est immortel, qu’il survivra à l’hécatombe planétaire.  Nous allons mourir tous nous devons laisser une chose pour les générations à venir je souscris dans la lignée des esprits forts je vous invite tous en Haïti ( a tué le père noël , le père noël est mort car il vole , il a dilapidé Haïti)




La mort du père noël en Haïti


Le  "Père Noël " respire encore. Le père noël est mort? Cela reste à voir... Pareille bonne nouvelle aurait produit des effets solaires dont on attend toujours, et en vain, la moindre preuve. En lieu et place d’un champ fécond découvert par une pareille disparition on constate plutôt le nihilisme haïtien, le culte du rien, la passion pour le néant, le goût morbide du nocturne des fins de civilisations, la fascination pour les abîmes et les trous sans fond où l’on perd son âme, son corps, son identité, son être et tout intérêt à quoi que ce soit. Tableau sinistre, apocalypse déprimante...En parallèle avec la mort de Dieu qui fut un gadget ontologique, un effet de manche consubstantiel à un XXe siècle voyant la mort partout dans le monde occidental  : mort de l’art, mort de la

philosophie, mort de la métaphysique, mort du roman, mort de la tonalité, mort de la politique. Moi je vais rajouter la mort du père Noël et la mort de la politique haïtienne . Qu’on décrète donc aujourd’hui la mort de ces morts fictives ! Ces fausses nouvelles servaient jadis à quelques-uns pour scénographie des paradoxes avant retournement de veste métaphysique. La mort de la philosophie permettait des livres de philosophie, la mort du roman générait des romans, la mort de l’art des œuvres d’art, etc. La mort de Dieu, elle, a produit du sacré, du divin, du religieux à qui mieux mieux. Nous nageons aujourd’hui dans cette eau lustrale...A l’évidence, l’annonce de la fin de Dieu a été d’autant plus tonitruante qu’elle était fausse... Trompettes embouchées, annonces théâtrales, on a joué du tambour en se réjouissant trop tôt. L'époque croule sous les informations vénérées comme la parole autorisée de nouveaux oracles et l’abondance se fait au détriment de la qualité et de la véracité : jamais autant de fausses informations n’ont été célébrées comme autant de vérités révélées. Pour que la mort de Dieu fût avérée, il eût fallu des certitudes, des indices, des pièces à conviction. Or tout cela manque...Qui a vu le cadavre? A part Nietzsche, et encore... A la manière du corps du délit chez Ionesco, on aurait subi sa présence, sa loi, il aurait envahi, empesté, empuanti, il se serait défait petit à petit, jour après jour, et l’on n’aurait pas manqué d’assister à une réelle décomposition – au sens philosophique du terme également. Au lieu de cela, le Dieu invisible de son vivant est resté invisible même mort. Effet d’annonce... On attend encore les preuves. Mais qui pourra les donner? Quel nouvel insensé pour cette impossible tâche? Car le père noël  n’est ni mort ni mourant – contrairement à ce que pensent Nietzsche et Heine sur la mort de Dieu. Ni mort ni mourant parce que non mortel. Une fiction ne meurt pas, une illusion ne trépasse jamais, un conte pour enfants ne se réfute pas. Ni l’hippogriffe ni le centaure ne subissent la loi des mammifères. Un paon, un cheval oui ; un animal du bestiaire mythologique, non. Or Noël relève du bestiaire mythologique, comme des milliers d’autres créatures répertoriées dans des dictionnaires aux innombrables entrées, entre Déméter et Dionysos. Le soupir de la créature opprimée durera autant que la créature opprimée, autant dire toujours..



La violence de la religion »  l'intelligence à l'ombre des ( Kouto) « 



Abbaye de Clairvaux, 1130-1136.


Saint Bernard, à propos des païens : « La meilleure solution est de les tuer. »

À la louange de la milice nouvelle.

La guerre juste, c’est juste la guerre. On a peine à imaginer que le Jésus qui invite à pardonner les péchés d’autrui, qui célèbre la douceur et l’amour du prochain, qui invite à la compassion et à la bienveillance, qui prêche l’humilité et la patience, qui condamne ceux qui veulent lapider la femme adultère, qui invite à aimer ses ennemis,


qui demande qu’on prie pour ses persécuteurs, ait généré des générations d’hommes qui, se réclamant de lui, ont tué, massacré, pillé, saccagé, ravagé, dévasté, détruit, violé, torturé, décimé, exterminé, assassiné, anéanti, génocide, ethnocide.

On le sait, je l’ai dit en amont, il y a tout et le contraire de tout dans le Nouveau Testament – je ne parle pas de la Bible dans sa totalité, car c’est pire… Il y a même matière à justifier la mise à mort. Je la rappelle, elle conclut la parabole des mines, c’est Jésus qui parle : « Amenez ici mes ennemis, qui n’ont pas voulu que je régnasse sur eux, et égorgez-les en ma présence » (Luc, 19-27). J’ai également signalé plus tôt qu’Adolf Hitler rendait hommage au Jésus qui chasse les marchands du Temple dans Mon combat. Sans parler de quelques autres citations extraites des Évangiles qui permettent aux assassins de revendiquer tout autant le Christ comme source d’inspiration que saint François d’Assise qui, lui,  refusait d’écraser un moucheron, toujours au nom du Christ. Hitler a raison, ce qu’il prélève se trouve bien dans les textes, hélas ; François d’Assise aussi, car ce dont il s’inspire pour pratiquer exactement à l’inverse, est également dans les mêmes textes ! Avec d’habiles prélèvements, on peut tout faire dire au Christ. Tout et le contraire de tout. Mais l’Église lui fit souvent dire une seule et même chose. Aujourd’hui encore, elle défend la guerre.

Il y eut des hommes et des femmes qui, chrétiens, ont été de vivants exemples de sainteté en construisant toute leur vie sur l’amour du prochain, le pardon des offenses, et ce qui relève du Jésus de paix et d’amour. Mais il y en eut également qui ont été de terribles chefs de guerre ayant passé au fil de l’épée des millions de gens, des hommes, des femmes, des enfants, des vieillards. D’un côté, Bernard de Clairvaux (XIe-XIIe) prêche en faveur de la croisade, la justifie quand il ne l’initie pas, écrit pour inviter aux massacres au nom de Dieu et donne sa pleine puissance à l’ordre cistercien ; de l’autre, François d’Assise (XIIe-XIIIe) parle aux oiseaux, rencontre le sultan d’Égypte Malik al-Kâmil en septembre 1219 dans le but de le convertir, il fonde les Frères mineurs, l’ordre des franciscains, il n’aime pas l’Église et son pouvoir qui le lui rend bien.

François d’Assise, chrétien, prêche la compassion pour tous les animaux sous prétexte qu’ils sont des créatures de Dieu. En Ombrie, entre Canaras et Bevagna, il délivre un sermon aux oiseaux : « Mes frères les oiseaux, vous êtes tenus d’une grande reconnaissance envers Dieu, et toujours


et partout vous avez le devoir de le louer : car il vous a donné la liberté de voler en tous lieux, et un double et triple vêtement, et un plumage aux couleurs délicates, et une nourriture que vous n’avez pas à gagner par votre travail ; le Créateur vous a appris à chanter ; la bénédiction divine vous a multipliés ; Dieu a, dans l’arche, conservé votre race, et c’est à vous qu’il a livré l’élément de l’air. Vous ne semez, ni ne moissonnez, et Dieu vous nourrit ; il vous a donné les fleuves et les sources pour vous désaltérer, les montagnes et les collines, les rochers pour vous réfugier, les arbres élevés pour faire votre nid. Et, bien que vous ne sachiez ni filer ni tisser, il vous fournit à vous et à vos petits le vêtement nécessaire. Il vous aime donc bien, le Créateur, puisqu’il vous a accordé tant de bienfaits. Aussi prenez garde, mes frères les oiseaux, de ne point vous montrer ingrats,  mais appliquez-vous à toujours louer Dieu. » Éloge du moineau chez le franciscain…

L’autre, Bernard de Clairvaux, chrétien lui aussi, écrit dans À la louange de la milice nouvelle (1130-1136) : « Ainsi le chevalier du Christ donne la mort en pleine sécurité et la reçoit dans une sécurité plus grande encore. Ce n’est pas en vain qu’il porte l’épée ; il est le ministre de Dieu, et il l’a reçue pour exécuter ses vengeances, en punis

sant ceux qui font de mauvaises actions et en récompensant ceux qui en font de bonnes. Lors donc qu’il tue un malfaiteur, il n’est point homicide mais malicide, si je puis m’exprimer ainsi ; il exécute à la lettre les vengeances du Christ sur ceux qui font le mal, et s’acquiert le titre de défenseur des chrétiens. Vient-il à succomber lui-même, on ne peut dire qu’il a péri, au contraire, il s’est sauvé. La mort qu’il donne est le profit de Jésus-Christ, et celle qu’il reçoit, le sien propre. Le chrétien se fait gloire de la mort d’un païen, parce que le Christ lui-même en est glorifié » (III,4). Éloge du soudard chez le cistercien…

Tuer, venger, punir, donner la mort puis enseigner que cette débauche de haine ouvre les portes du paradis et réjouit le Christ, voilà ce qu’est devenu le christianisme issu de Paul, l’apôtre au glaive, et de Constantin, l’empereur aux licteurs. Justifier la guerre, exalter les vertus du conquérant, célébrer le soldat, faire l’apologie du crime, défendre le meurtre, en appeler au maniement des armes, pourvu que toutes ces exactions s’effectuent au nom de Dieu, voilà une façon pas très catholique d’être chrétien ! À propos des croisades, il écrit : « (Dieu) daigne appeler à le servir, comme s’ils étaient pleins de justice, des homicides et des voleurs, des parjures et des adultères, des hommes chargés de toutes sortes de crime. N’est-ce pas là de sa part une invention exquise, et que lui seul pouvait trouver ? » (Lettre 363)



Métaphysique de la Révolution Haïtienne 


Avec la Révolution Haïtienne à la fin du 18ème et au début du 19ème siècle et la révolution bolchevique au tout début du XXe, les événements de Mai 68 en France et d'autres bouleversement socio-politique , économique et culturelle du monde  constituent le troisième temps de la déchristianisation dans le monde Pour le cas d'Haïti . après la révolution . La rue a remplacé l’église, le tract se substitue au missel, la sérigraphie prend la place de l’icône, le vodou était à la tête déclasse la chaire, l’assemblée générale devient le conclave, la manifestation est une grand-messe, le militant endosse les habits du prêtre,´´ les vodouyizans `` porte les vêtements du moine soldat, le portrait des icônes révolutionnaires fonctionne comme jadis celui des saints de la chrétienté, les procédés du vodou '' lansan '' les poudres lustre comme l’eau bénite, le pavé est une aumône versée à la cause. Nonobstant tout cela, Dessalines et Toussaint reste Dieu, bien sûr, et Christophe de son côté à christianiser l'empire .Apres l'indépendance les chefs d'état était tous des chrétiens  ce qui nous donne à l'heure actuelle une  Promesses de tension.








La Déchristianisation Chrétienne de la république D'Haïti ( 1er République noire du nouveau monde , 1804) 


Décembre 1492

Christophe colon venait en Haïti avec une croix .


Le concile Vatican II (1962-1965) suit d’une vingtaine d’années la chute des intellectuels haïtien. Une vingtaine d’années pour l’Église catholique, apostolique et romaine, c’est une virgule dans un long texte de deux mille ans qui prend date sur l’éternité. Car l’Église, elle, a le sens des longues durées. Quiconque n’a pas saisi qu’elle inscrivait son existence en regard de la fin des temps ne comprend pas son fonctionnement. Certes, le concile n’est pas une réponse explicite à cette histoire, à l’implication de l’Église officielle dans le soutien aux régimes féroces instaure en Haïti de 1820 - à 1957 et de 1957 à nos jours nous nous oublirons pas 1915 - 1934 l'occupation américaine que l'église n'a jamais intervenu au sujet de cette colonisation moderne , nous devons déchristianiser la république D'Haïti car dans un pays pauvre comme le cas d'Haïti nous n'avons pas besoin de la religion , nous n'avons pas besoin de ceux gens de choses nous avons besoin plutôt de la science pour le développement du pays .Un pays ne peut pas être développé avec une religion qui a été importé et qui est construite sous l'ombre des épées des pauvres .









Conclusion 

La mort du père noël inscrit  dans ma démarche l'honnête homme "car le mot homme a été inventé à la fin du 19ème , je veux dire l'homme est né , à l'époque de Sade , à l'époque de Kant et à l'époque de Ricardo .Certes, en 1966 avec la publication de Michel Foucault " les mots et les choses " il a déclaré la mort de l'homme car l'homme n'est pas au centre du monde , l'homme ne vaut rien aujourd'hui, l'homme Haïtien ne vaut rien aussi en pleine 20 ème le pays est toujours dans la misère .Dans cette optique de la mort partout   !  moi, je suis dans cette même démarche de la mort du père noël .car, il ne vaut rien pour le pays le père noël peut renaître l’orque le pays commence à développer .Comme disait Michel Onfray dans son livre la décadence de l'empire Judéo chrétienne "

Si le réel donne tort à l’idéologie, c’est l’idéologie qui a tort, pas le réel. En ce sens Quand Jacques Stephen Alexis montre la Lune en annonçant dans le merveilleux réalisme haïtien " désormais, ce sont des blocs spirituels et culturels qui s’opposeront, les imbéciles n’ont eu de cesse de regarder son doigt. (Malheur Pour lui , il a été fusillé par les Duvalier ) Pour la plupart de ces idiots, même si le réel donne raison aux analyses au grand médecin Haïtien et poète du réalisme . Un grand nombre des faits annoncés en dans le livre de  Jacques Stephen Alexis et Jacques Roumain le premier athée haïtien  dans les œuvres de ceux dernier ont s’est trouvé validé par le réel. Mais il faut bien plus que le désaveu apporté par le réel à nombre de penseurs et d’intellectuels, haïtiens  de politiciens, de sociologues et d’historiens pour qu’ils se trouvent ébranlés dans leurs convictions idéologiques foi en l'avenir de l'éducation et la politique dans ce pays .












Référence bibliographique  

Michel Onfray Décadence, Vie et mort du judéo christianisme  d’édition : Flammarion© Flammarion, 2017 p. 220 - 245

Spengler, Le Déclin de l’Occident (Gallimard, 1948) p.100- 158


Samuel Huntington, Le Choc des civilisations (Odile Jacob, 1997),

Jacques Stéphane Alexis , du merveilleux réalisme haïtien télécharger sur classiques des sciences sociales par PDF

Michel Onfray , traité d'atheologie édition Gallimard .2005

A défaut d’une bonne histoire de l’athéisme, dans le monde universitaire ou sur les moteurs de recherche encore à écrire, on lira deux abords philosophiques de cette question : d’abord Jacques-J. Natanson, La mort de Dieu. Essai sur l’athéisme moderne, PUF, 1975. L'auteur effectue une lecture claire et intelligente des questions afférentes à l’athéisme en mélangeant l’information, l’analyse et le commentaire. Huit pages de bibliographie. Ensuite, et dans le même esprit : Dominique Folschied, L'esprit de l’athéisme et son destin, La Table ronde, 1991. Nietzsche et Dostoïevski y sont abondamment analysés.




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