Sujet: 1492 : découverte ou rencontre des deux mondes



   Plan du

Introduction

Christophe Colomb

1492: découverte d'Amérique

  Haïti -est-il?

Les habitants d'Haïti en 1492

Premier rapport des espagnols et des indiens

deuxième voyage de Colomb- son retour Isabelle.

--Conclusion

références














Introduction

1492-2020 cela fait en quelque sorte  528 ans depuis nous connaissons l'existence de l'Amérique qui avait découvert par les espagnols précisément C. Colomb et ses acolyte certes,

On peut dire ,avant 1492 l'Amérique n'était pas connue de l'Europe. Cependant,

notre pays exerçait déjà son enchantement dans le monde .Dans les années avant la découverte de notre continent, on parlait d'une ville merveilleuse situé au delà des mers à l'ouest de l'Europe, on l'avait même appelée antilia par l'intuition des grands savants .

  Sur les cartes   géographique  ,on l'avait déjà représenté .Les géographes portugais avaient placé antillia à environ 200 lieus des Açores et ils l'appelaient l'île des sept ville. On peut dire du même coup 

Ce qui les engageait dans cette recherche était une vieille tradition populaire dans le temps de l'invasion des espagnols par les maures sept évêques s'étaient embarqué avec quantité de chrétiens pour fuir la percutions des mahométans et qu'après avoir longtemps erré au gré des ondes et des vents, ils avaient pris terre dans un port de lentilles ,qu'ils s'y étaient établis après avoir mis le Feu à leurs navires et que chaque évêque y avait bâti une ville , Dans cette optique il nous convient de de est ce que 1492  :était une  découverte ou rencontre des deux mondes et pour la réalisation de ce travail nous allons travailler en fonction de notre plan cite plus haut 

dans un premier temps nous allons parler de Christophe Colomb et la découverte d' Amérique , nous enchainons avec les autres point tout en respectant notre plan



On va parler de la 

découverte d'Amérique  en 1492 par Christophe Colomb .

Tout d' abord , 

Christophe Colomb naquit à Gênes en 1451. Son père, Dominique Colomb, n'était qu'un pauvre tisserand. Christophe reçut-il une instruction complète et fréquenta-t-il vraiment l'Université de pavie, comme plusieurs historiens l'ont affirmé? On peut en douter, car dès l'âge de quinze ans, Colomb navigua, d'abord en méditerranée , puis sur l'océan Atlantique.

Un voyage maritime,  à la voile surtout, laisse à celui qui l'entreprend de nombreuses heures de loisir. De nos jours, on lit; mais à cette époque, Gutenberg commençait d'imprimer le premier livre. 

Pour s'occuper, Colomb s'adonne avec passion à son métier et recueille avidement les longs récits, plus ou moins exacts, de ses compagnons de bord. Les vieux marins disaient qu'en partant d'Europe et en marchant vers l'est, des missionnaires d'abord, des marchands ensuite, étaient parvenus jusqu'en Asie , dans les pays, immenses autant que riches, de la fabuleuse cipangu.

Ils disaient encore que des marins portugais avaient trouvé et trouvaient sans cesse de nouvelles terres en descendant au sud de leur pays : côte de Guinée, Cap-Vert Açores......

L'imagination de Colomb travailla sur ces données vagues. Il se convainquit peu à peu que la terre est ronde et qu'en mettant hardiment le cap à l'ouest, on atteindrait cette cipangu, tant de fois rêvée par les navigateurs.

Devenu habile marin et fort de sa conviction. Certes

Colomb résolut d'entreprendre un voyage sur l'océan. Il lui fallait des bateaux et de l'argent. Gênes, sa ville natale, est pressentie : la réponse lui rappela que nul n'est prophète dans son pays. Où aller? en Espagne? En Angleterre? En France? Ces contrées étaient bouleversés par la guerre. Après de longues hésitations, Christophe Colomb se décida pour Portugal.

On l'y traita de fou et de visionnaire. Il passa en Espagne. Après huit ans de démarches incessants et grâce à des concours désintéressés, comme celui du moine franciscain, Juan Perez de marchena, prieur du couvent de la Rabida, il finit par gagner à son idée la reine de Castille, Isabelle la catholique. Telle était la foi de Colomb en son succès qu'il exigea et obtint de l'arrière souveraine une convention écrite : Isabelle s'engageait à fournir deux bateaux au navigateur et à lui reconnaître les titres et prérogatives d'amiral et de vice-roi des terres qu'il découvrirait.

La ténacité de Colomb fit une autre conquête : les frères Pinzon convaincus, eux aussi, que des terres existaient dans l'océan, au large des Açores, offrirent à Colomb un troisième bateau et le précieux concours de leur influence, grande à Palos, leur ville natale. Grâce à leur activité, trois caravelles, avec leur équipages au complet, étaient prêtes, le 3 Août 149, à prendre la mer. C'était la Santa-Maria, la Nina, la Pinta (Pinta bateau de Pinzon).

Le voyage fut mouvementé. Après une relâche aux îles canaries, les marins de Colomb ne virent, pendant de longs jours que le ciel, la mer et leur bateau. Persuadés que leur chef les conduisait à une mort certaine et sans gloire, ils résolurent de le jeter à l'eau et de faire demi-tour. Colomb les domina par son sang-froid et son étonnante fermenté.

Sa foi ardente, son indomptable ténacité récurent enfin leur récompense : le 12 octobre 1492, soixante-dix jours après son départ de palos, il aborda l'une des îles Bahama. Guanahani, qu'il appela San-salvador , en souvenir sans doute des périls de sa traversée. Il découvrir la grande Cuba, le 26 octobre ; et le 6 décembre, il jeta l'ancre au fond d'une baie magnifique qui, en l'honneur du saint du jour, fut dénommée baie de Saint-Nicolas.


Il venait de découvrir notre chère Haïti.


Les caravelles de Colomb terrifièrent les habitants du lieu, qui s'enfuirent d'abord à leur vue : mais bientôt la curiosité l'emportant, ils s'enhardirent et, avec une vénération mêlée d'effroi, ils prirent contact avec les mystérieux étrangers. Il nous convient maintenant d' aborder le deuxième point de notre travail car nous avons vu plus haut la vie de C .Colomb et toutes les démarches qu'il avait mené pour le voyage , on peut provoquer une autre question 


Haïti était il ?

Haïti est,après Cuba ,la plus grande des Antilles , elle est    parcourus. Par quatre chaîne de montage dirigées du nord ouest au sud est .ses plaines couvertes de plantation , sont arrosée par des cours d'eau nombreux et abondants .ses mornes aux sommets couronnés de nuages portent sur les flancs des rets ,des champs de café,des maïs et. De bananiers.haiti à cause de ses richesses naturelle,de sa fertilité,de la couleur de son climat,de  l'incomparable  beauté de ses paysages,a mérité d'être appelée la perle des Antilles.



Les habitants d'Haïti en 1492

Les espagnols eux aussi étaient profondément étonnés à san Salvador,à  Cuba et en Haïti ,aux confins de pays qu'ils prenaient pour Indes  ,ils voyaient une race d'hommes à peau cuivré ,on ignorait ,en 1492 l'existence d'un continent Amérique à part. Formé des Amériques et des Antilles et la division des en peuplades indépendantes quelques unes comme les aztèques du Mexique et les incas   du Pérou étaient prévenues à une civilisation matérielle remarquable , attestée de nos jours encore par des monuments en ruines aux dimensions gigantesque.

Ces hommes nouveau nés furent donc des indiens pour les espagnols qui croyaient avoir par l'ouest une partie de ces Indes fabuleuse dont on leur avait tant parlé .

Les indigènes d'Haïti dénommés arawaks ne s'étaient montrés si preureux à la vue des caravelle espagnoles ,que parce qu'il redoutaient les incursions répétées des caraïbes.

En 1482 le samba le plus répété d'Haïti était une femme,anacaona.

À cette époque ,l'organisation politique, sociales et religieuses des arawaks étaient simple.Haïti comprenait caciquats  ,la magua c'était dans nord, il était dirigé par guarionex, le marien c'était dans le nord ouest dirigeait par guacanagaric ,le xaragua c'était dans le sud ouest dirigeait par bohechio anacaona,le maguana c'était au centre dirigeait par caonabo,et le hyguey c'était au sud est dirigeait par cotibanama. Dans cette ordre d' idée ainsi clair , il faut voir les premiers rapport des indiens et des espagnols


Premiers rapports des espagnols et des indiens la baie de Saint-Nicolas se trouvait dans le marien. guacanagaric crut naïvement que Colomb et ses hommes défendraient son peuple contre les redoutables caraïbes ,il leur demanda de ne Plus  le quitter ,et quand la Santa-Maria fit naufrage non loin des plages actuelle du Cap, il s'en montra inconsolable. Lui profita de ces dispositions excellentes pour obtenir la concession d'une terrain où,avec les débris de la caravelle naufragée,il construisit un fortin la nativité. Puis  il quitta les côtes haïtiennes le 11 janvier 1493 pour rentrer en Europe et y faire connaître sa géniale découverte il ne laissa à la nativité qu une trentaine d'Espagnols auxquels il recommanda de traiter les indiens avec ju et beauté. voire avec nous le deuxième voyage de C.Colomb et son retour



Deuxième voyage de Colomb - son retour.


Le retour de Colomb provoqua en Espagne une enthousiasme extraordinaire le roi fr d'Aragon,le reine Isabelle la réçurent avec le plus grands honneur,de Toute part on accourut pour entendre le récit de ses merveilleuses découvertes et pour voir des signes tangibles de la richesse des nouvelles terres , pour voir surtout et avidement l'or d'Haïti.

L enthousiasme fut tel qu'à son Deuxième voyage Colomb à la tête d'une véritable flotte , conduisit vers Haïti plus de 1500 personne .après une heureuse traversée,il se trouva ,le 22 nouveau 1493 en vue des côtes du marien.le série des déboires de Colomb s'ouvrit le même jour pour ne s'arrêter qu avec sa vie.il chercha anxieusement la nativité,il ne fut vraiment convaincu de sa destruction qu'avec avoir vu et entendu guacanagaric.


Pour ne pas effrayer ses compagnons de voyage Colomb remit à la voile ,il longea en allant vers l'est la côte nord d'Haïti explora la baie de mancenille ,contouna la petite presqu'île de monte christi et s'arrêta à la pointe isabebelique .

En quelques heures ,les bateaux furent vides ,les hommes foulaient enfin la terre de leurs rêves et de leur convoitise Colomb fit aussi débarquer les bestiaux d'Europe ,fort amaigris par le voyage, qu'il comptait acclimater en Haïti sans perdre de temps il traça le plan d'une ville qu'il appela Isabella en souvenir de sa protectrice Isabelle la catholique cite par Dorsainvil dans l' histoire d' Haïti 





Conclusion 

  Ce qui dépasse dans  l'imagination , c'est que l'illustre matin Colomb voguait sur une mer inconnus ,vers des terres inconnues et qui avait tant de chance d'atteindre un point de la terre ferme du vaste continent américain et très peu de chances d'aborder en d'Haïti ou dans une autre partie de l'archipel antileen y fut conduit par le destin .

il est bien découvert d'abord san Salvador et puis. Cuba ,mais il n'y était pas resté; ce n'était pas ce qu'il cherchait ,ce n'était par antillais .à Cuba ,les naturels lui avaient indiqué du doigt une île dont il parlaient avec ravissement ,ou li y avait toutes les richesses qu'on pouvait convoiter et ils l'appelaient Haïti,terre montagneuse ou bohio , grand terre .

Quand donc le 6 décembre 1492 ,le navigateur débarqua en Haïti ,il comprit qu'il était à antillais: nôtre île avait ,à peu près la même que  les géographe portugais les avaient sur leurs cartes fantaisiste.

Le même Marius André répète, après les Auteurs espagnol or Haïti n'est pas autres  que la fabuleuse antilia par la configuration de ses côtes; elle répond mieux que l'autre Cuba grande Antilles à l'idée qu'on se faisait de l'île des sept cités.

Haïti à été comme une princesse lointain dont on a parlé pendant des siècles et qu on avait parée de tous les charmes et de tous les enchantements .pour la retrouver, combien de marins , combien d'aventurier ont perdu la vie! Puis on a fini par la découvrir et on s'est aperçu qu'elle offrait aux intrépides voyageurs une continent   capable d'assouvir toutes les façons et d'étancher toute les soifs, on peut dire 1492  :  la découverte d' Haïti était la rencontre des deux monde car le jours où Christophe Colomb a débarqué sur l' ile il avait des autres gens qui y vivent ....
















Références

Contributions de l'île d'Haïti à l'histoire de la civilisation Louis merci premier édition 1949

Histoire d'Haïti DORSAINVIL cours supérieur

Bernard Vincent 1492 l'année admirable ,Paris , champs 1996 p.243

1492 -1992 Espagne -amerique latine ,de la découverte à l'Expo matériaux pour l'histoire

Alexander von Humboldt , examen critique de l'histoire de la géographie du nouveau continent ,1837 lire en ligne.



Auteur Jules calos 

Humaniste commutateur

Gestionnaire

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