L'histoire de la folie /L' histoire des troubles mentaux by Le mouvement Boomba Jeune engage pour la culture ....

 


Plan 

I- Introduction (origines des troubles mentaux / Définition générale et selon les DSM,  les CIM)

II- Dyspraxie ou TAC

- Définition

- Ses caractéristiques

III- Du Trouble artistique,  TED au TSA

- De 1987 à 2013, définition

- Ses caractéristiques / Symptômes

IV- Syndrome d'Asperger

- Définition

-Ses caractéristiques

V- Autisme du haut niveau.

- Définition

-Ses caractéristiques

VI- Différence entre syndrome d'Asperger et autisme de haut niveau.

VII- Conclusion 

    De l’histoire de la folie jusqu’à l’époque contemporaine nous allons analyser l’origine des maladies mentales, ou encore troubles mentaux que Michel Foucault a publié un grand livre sur l’histoire de la folie jusqu’à l’âge classique. 

 Ce livre a paru précédemment dans la bibliothèque de l’histoire en 1972  dans lequel Michel Foucault disait qu’à la fin du moyen-âge, la lèpre disparait du monde occidental. Dans les marges de la communauté, aux portes des villes, il disait dans le haut moyen-âge, jusqu’à la fin des croisades, les léproseries avaient multiplié sur toute la surface de l’Europe, leur cités maudits. Selon Matthieu Paris, il y en aurait jusqu’à 19000 a traves toute la chrétienté. (Chapitre 1 de l’ouvrage  pages 1 à 10).

L’histoire des troubles mentaux remonte à de nombreux de l’ère préhistorique jusqu’à l’époque actuelle et moderne. Selon Foucault, de nombreux peuples et de diverses cultures ont donné leurs opinions et leur perception sur ce qu’était les troubles mentaux de grand penseurs tels que : Platon, Socrate, ils se sont penchés sur ces anomalies.

 Il existe des auteurs qui disent que les troubles ont été  apparus pendant l’ère préhistorique. Charles Darwin (1809–1882) dans la psychologie évolutionnisme suggère que certaines dispositions génétiques et mécanismes psychologiques étaient présents dans les troubles. Passant par la civilisation ancestrale (Égypte et Mésopotamie, passant par l’Inde pour arriver au moyen-âge, les savants grecs (Perses et Arabes) furent les premiers qui ont donné une description sur la mélancolie, et aux troubles tels que les hallucinations. 

 A cette époque, les troubles mentaux étaient associés à  l’égarement d’esprit, à une perte de raison. Dans l’Islam médiéval, autrement dit dans le culte islamique, les individus qui souffrent des troubles mentaux ne méritaient pas ni de protection, ni de traitement médical en disant que les troubles sont des malédictions envoyées par Dieu. Cependant, c’était à cette époque même qu’on a fondé le premier hôpital psychiatrique qui était situé à Bagdad en 1705.

A l’époque moderne, lorsqu’un individu atteint un trouble, on dit qu’il était victime d’un chasseur sorcier. Il faut insister sur le fait que la classification des troubles a commencé à partir de la deuxième moitié du XXème siècle avec l’apparition du DSM 1. D’autre en plus, la Psychanalyse s’est développé au XXème siècle avec la classification de Kraepelin. De ce fait,

Le terme Santé mentale a été développé aux États-Unis au XIXe siècle, d’où à l’époque, il s’appelait Hygiène mentale. L’évolution des troubles a multiplié avec la première guerre mondiale et a engendré  un traumatisme psychologique. A cette époque il est estimé qu’environ 200.000 individus souffraient des troubles mentaux. Ainsi, la classification des troubles se fait avec le DSM et CIM.

          DSM : se définit comme Dignostic and Statistical Manuel of Mental  Disorders, traduit du français comme Manuel de Classification des Troubles Mentaux de l’Association Américaine de Psychiatrie.

Observons l’apparition des dates des DSM

DSM I : 1952, aux États-Unis

DSM II : 

DSM III : 1980, aux États-Unis, révisé en 1987

DSM IV : 2000, aux États-Unis, a été un travail d’équipe de plus de mille personnes et de nombreuses organisations professionnelles. 

DSM V: 2013,  aux États-Unis est en cours de traduction en français.

CIM : Classification Internationale des Maladies 

Après avoir classé chronologiquement les DSM, ainsi nous allons voir pourquoi on avait besoin de classifier les troubles mentaux.

       Le besoin d'une classification des troubles mentaux s'est fait sentir tout au long de l'histoire de la médecine, mais il y eut peu d'accord entre le DSM et le CIM. Quant aux troubles qui auraient dû être inclus et quant à la meilleure méthode pour leur classification. Les nombreuses nomenclatures qui ont été élaborées durant les deux derniers millénaires se sont différenciées par l'importance relative qu'elles ont accordée à la phénoménologie, à l'étiologie ou à l'évolution en tant qu'éléments de définition des catégories. Certains systèmes n'ont inclus qu'une poignée de catégories diagnostiques, d'autres, des milliers. De plus, les différents systèmes de catégorisation des troubles mentaux ont différé en fonction de l'utilisation principale à laquelle ils étaient destinés: la clinique, la recherche ou l'établissement de statistiques. L'histoire de la classification étant bien trop vaste pour être résumée ici, nous nous attacherons seulement brièvement à ceux de du DSM (Manuel de Classification des Troubles Mentaux de l’Association Américaine de Psychiatrie) et du CIM (Classification Internationale des Maladies).

Selon le DSM-V (1), le trouble mental se définit comme étant « un syndrome caractérisé par des perturbations cliniquement significative dans la cognition, la régulation des émotions, ou le comportement d’une personne qui reflètent un dysfonctionnement dans les processus psychologiques, biologiques, ou développementaux sous-jacent au fonctionnement mental ». Dans le cadre de notre travail, nous allons accentuer sur :




- La Dyspraxie ou Trouble de l’Acquisition de la Coordination (TAC)

          Pour ces dix (10) dernières années, il y a beaucoup de recherches et définitions portées sur la dyspraxie. Pour définir ce trouble, nous tenons ainsi qu’à apporter celle de l’Ergothérapeute Marie-Laure Kaiser « Le Trouble de l’Acquisition de la Coordination (appelé dyspraxie au Québec) est un trouble neurobiologique qui touche la coordination motrice et qui perturbe la réalisation des activités de la vie de tous les jours telles que les activités physiques ou l’écriture ». Ce trouble affecte la motricité globale (qui permet à l’enfant d’acquérir l’équilibre, la coordination et d’utiliser les grands muscles afin de maitriser certaines activités) et la motricité fine (qui concerne les mouvements précis notamment ceux de la main et des doigts).

Dans le DSM V, on considère que le TAC est en comorbidité fréquente avec le Trouble du déficit de l’attention/ hyperactivité, le trouble de la lecture (dyslexie), le Trouble du langage spécifique ou les Troubles d’apprentissage et les Troubles du Spectre Autistique. La dernière conférence de consensus organisée par l’European Academy for Childhood Disability en 2012 estime que ce trouble affecte 5 à 8 % des enfants d'âge scolaire, avec un nombre plus élevé de garçons. Par exemple, deux (2) garçons sur trois (3) et une (1) fille sur trois (3).

De ce fait, on peut reconnaitre un enfant dyspraxique par ces moyens suivants : premièrement, l'acquisition et l'exécution d'habiletés motrices coordonnées sont nettement au-dessous du niveau escompté compte tenu de l'âge chronologique du sujet et en dépit d'occasions d'apprentissage et d'utilisation de ces habiletés. Les difficultés se traduisent par de la maladresse (ex: laisser tomber ou heurter des objets), ainsi que de la lenteur et de l'imprécision dans l'exécution des habiletés motrices (ex: attraper un objet, utiliser des ciseaux ou des couverts, écrire, faire du vélo, pratiquer une activité sportive, etc.) ; ensuite  le déficit en habiletés motrices du critère précèdent interfère de façon significative et persistante avec les activités de la vie courante appropriées à l'âge chronologique (ex: soins et entretien de soi) et a des conséquences sur la réussite scolaire, les activités professionnelles, les loisirs et les jeux ; puis, le début des symptômes se situe dans la première enfance; enfin, le déficit en habiletés motrices n'est pas mieux expliqué par une déficience intellectuelle (trouble du développement intellectuel) ou un déficit visuel, et n'est pas dû à une affection neurologique qui atteint les mouvements (ex. : paralysie cérébrale, dystrophie musculaire progressive, trouble dégénératif).

 Cependant, il faut bien souligner que toute maladresse ou tout trouble de l’écriture n’est pas la dyspraxie. Tout comme l’enfant normal il peut réaliser presque toutes les activités. Mais quant à l’enfant dyspraxique se sera plus lent lors de la réalisation de ces activités parce qu’il aura toujours une lenteur et un manque de précision. C’est pourquoi, pour les apprenants dyspraxiques il faut qu’il y ait des enseignants tolérants. Dans cet ordre d’idée on va poursuive avec le TED ou TSA.


- Trouble Envahissant du Développement (TED)  ou Troubles du Spectre  Autistique(TSA)

         Dans les années 1987, l’autisme infantile est renommé trouble Autistique, ensuite avec le DSM IV en 1994 il s’est devenu Trouble Envahissant du Développement (TED). Enfin, avec le DSM V en 2013, il devenait Trouble du Spectre Autistique (TSA).

 Les TED sont complexes, ils étaient considérés comme des troubles affectifs jusqu’à ce que les investigations scientifiques révèlent qu’ils s’agissaient d’un ensemble de variations neuro-développementales du fonctionnement cérébral pouvant s’exprimer par un large éventail de symptômes.

La classification des troubles mentaux du DMS IV TR4  comporte cinq troubles envahissant du développement, soit :

- L’autisme ou trouble autistique,

- Le syndrome d’Asperger,

- Le trouble Envahissant du Développement

- Le syndrome de Rett

- Le trouble desintégratif de l’enfance

Malgré cette classification, il demeure difficile de déterminer des critères et de tracer des limites précises entre les sous-groupes. Les personnes atteintes de TED forment en effet un groupe très hétérogène tant par la grande variabilité des symptômes et le degré de dysfonctionnement que par la présence ou l’absence de conditions médicales ou psychiatriques associées. Ainsi, plusieurs clinicien se réfèrent à un concept dimensionnel plutôt que catégoriel, reconsidérant l’expression communément employé jusqu’ici. 

A la lueur des informations émanent de la révision du DSM V, il semble qu’une nouvelle classification introduirait la notion spectre autistique « celle-ci rendant compte de l’aspect dimensionnel du concept les troubles du spectre de l’autisme (TSA) »

Regroupons alors dans une catégorie inclusive :

L’autisme ou trouble autistique ;

Le syndrome d’Asperger : 

Le trouble envahissant du développement non spécifié. (Les troubles du spectre de l’autisme l’évaluation clinique, collège des médecins de Québec, janvier 2012, pages 6 à 9.

Le TSA est l’un des troubles neuro-développementaux (TND), c’est une pathologie génétique qui manifeste dans l’altération du langage, c’est un trouble développemental, mental et/ou comportemental.

A présent, nous allons nous centrer sur le Syndrome d’Asperger et Autisme de Haut niveau :

Dans le cadre de notre recherche il est important de définir le syndrome d’Asperger et ses caractéristiques, comment peut-on reconnaitre un Asperger ?  On va donner quelques traits du syndrome etc...

Le syndrome d’Asperger est un trouble de la famille de l’autisme, un trouble envahissant du développement qui se manifeste dès l’enfance  touchant approximativement entre 350 000 et 600 000 personnes à travers le monde. Ensuite, le syndrome d’Asperger a une origine neuro-biochimique associé à un problème génétique faisant probablement intervenir plusieurs gènes et se distingue par le fait que l’intelligence de la personne atteinte demeure intacte bien que les troubles neurologiques affectent l’activité du cerveau. Donc, les sujets atteints par ce syndrome ont des difficultés à se sociabiliser, c’est la première caractéristique. Ils ont la difficulté d'  interagir avec les autres personnes. De là, il s’agit d’un handicap chronique que l’on ne sait pas guérir.

Alors, comment peut-on décrire le syndrome Asperger ? 

     Le syndrome d’Asperger est un trouble neurologique du spectre autistique qui touche le cerveau et qui fait partie des troubles envahissants du développement. Il faut insister sur le fait que, les garçons sont davantage exposés que les filles (environ 4-5 fois plus). Mais,  il n’y a pas de fixation exacte au niveau des causes de la maladie, car tantôt on dit qu’elles sont génétiques, tantôt on dit qu’elles sont neurologiques, tantôt environnementales,  bien que les facteurs génétiques (hérédité) sont souvent mis en avant.

     Les troubles associés au syndrome d’Asperger résultent d’une mauvaise transmission entre la réception et le traitement des informations au niveau du cerveau. Cette anomalie entraîne une perception différente de la vie et du monde qui l’entoure par le patient, et des anomalies dans les interactions entre personnes. En ce sens voyons voire les symptômes du syndrome d'Asperger.

Avant 3 ans, le Syndrome d’Asperger est peu diagnostiqué. Pourtant, des signes sont déjà souvent présents, et l’enfant communique peu avec ses parents par des gestes, babillages, sourires, rires. A partir de l’âge de 3 ans, les symptômes deviennent plus visibles. Les enfants cherchent peu à entrer en interaction avec les personnes de l’entourage, mais se concentrent ou focalisent leur attention sur des sujets, des objets précis. Le langage non verbal est difficilement décodable pour eux. Ils réagissent donc souvent de manière qui semble inadaptée car ils ne comprennent pas les codes implicites.

     Le syndrome d’Asperger se manifeste donc par des difficultés à communiquer à établir des rapports sociaux, à supporter le bruit ou un environnement très stimulant. On observe souvent des mouvements répétitifs chez les enfants, des difficultés à coordonner les mouvements et à se situer dans le temps et dans l’espace. Les personnes atteintes ont des difficultés à comprendre l’abstrait et les émotions. Ils sont capables d’éprouver des sentiments tels que l’amour, mais de façon différente. Il faut noter que tous les enfants atteints du syndrome d’Asperger ne présentent pas nécessairement tous les symptômes évoqués. La gravité des troubles varie également d’un enfant à l’autre.

Les enfants atteints de syndrome d’Asperger sont souvent des enfants intelligents, perfectionnistes et exigeants qui accordent une importance particulière aux détails pouvant échapper aux autres. Ils ont des centres d’intérêt précis qui sortent parfois de l’ordinaire pour des enfants de leur âge, par exemple la conquête spatiale ou les trains. Ils sont doués d’une mémoire remarquable et la logique est le fondement de leur raisonnement. Ils possèdent également une grande lucidité et une bonne capacité d’analyse, 

Parlons maintenant de l’Autisme en considérant l’Autisme de Haut niveau

          Qu’est-ce  que  l’autisme ? L'autisme  est  un  trouble  envahissant  du  développement  (TED)  1  qui  se  manifeste,  sous  divers  aspects, avant  l'âge  de  3  ans.  L’autisme  et  les  troubles  apparentés  forment  un  groupe  connu  sous  le  nom  de désordres  du  spectre  autistique.  

Il faut noter que les  troubles  autistiques  se  caractérisent  par  une  «  triade  »  de perturbations  (à  des  degrés  divers)  des  capacités  de  communication  et  des  interactions  sociales,  et par  des  modes  comportementaux  restrictifs  et  répétitifs.  Cet  état  peut  entraîner  des  incapacités définitives.  Bien  que  les  causes  de  l’autisme  soient  encore  mal  connues,  la  communauté  scientifique centre  ses  recherches  sur  différents  facteurs  neurobiologiques.  Il  apparaît  de  plus  en  plus  qu’en intervenant  tôt,  on  peut  améliorer  l’adaptation  et  l’autonomie  des  personnes  autistes.

Nous allons énoncer quelques symptômes / manifestations chez l'enfant autiste:

L'autisme change le développement de l'enfant avec l'âge.

1-  Avant 12 mois 

-L'enfant est trop agité, il ne sourit pas beaucoup.

-Ses yeux ne fixent pas

- Il ne montre pas d'émotions particulière comme les autres enfants de son âge.

2-  De 12 à 24 mois

- Il peut ignorer les autres.

-Changement des mouvements corporels.

3- Après 24 mois

- Il répète ce qu'il entend dont appelle ce signe Echolalie par exemple lorsqu’on demande a l’enfant «comment appelles-tu?»  Il répondra «comment appelles-tu?», ce terme est différent de stéréotype qui est un comportement répétitif. 

-Il n'arrive pas à supporter le changement de son environnement.

-La routine n'a aucune importance pour lui.

4-  De 3 à 5 ans

-  Difficulté à suivre les instructions simples.

-Il est assez intéressé à des jouets. 

          En tenant compte de l’autisme, nous allons parler de l’autisme haut niveau. Les personnes de haut niveau ont beaucoup de points forts; ils ont une mémoire encyclopédique, ont une grande capacité en informatique; certains ont de grandes compétences dans les domaines précis, comme l’électronique, la mécanique, la musique, l’astronomie, l’histoire, etc.

Ils peuvent ainsi travailler dans domaines aussi variés que la recherche, l’information, pour peu qu’ils aient un espace à eux, une certaine liberté .les personnes autistes de haut niveau sont scrupuleuses, honnêtes, toujours à la recherche de la justice et de la vérité. 

 La différence qui existe entre le syndrome Asperger et autisme de haut niveau, c’est l’âgé d’apparition du langage  c’est à dire l’enfant qui souffre l’autisme de haut-niveau peut rester constamment muet tandis que du côté de celui qui souffre le syndrome d’Asperger, il peut scolariser, parler, apprendre, etc.

          En somme, après tant de recherches faites sur les troubles mentaux à  savoir La Dyspraxie, le TED ou TSA, on déduit qu’il s’agirait  d’une série de troubles d’origines diverses telles que : toxique, organique, générique, psychogène, traumatique affectant le psychisme d’un sujet. Donc, l’analyse précédente s’est faite dans le but de présenter la définition et les différentes caractéristiques, manifestations de la Dyspraxie ou Trouble d’acquisition de Coordination ( TAC) et Trouble Envahissant du Développement (TED) en 1994 avec le DSM IV qui est devenu Trouble du Spectre Autistique (TSA) en 2013 avec le DSM V, d’où nous venons de centrer beaucoup plus sur le Syndrome d’Asperger et sur l’autisme du Haut-Niveau.


Bibliographie/Webographie

1- J.M., Albaret et De Castelnau P., Démarches diagnostiques pour le trouble de l’acquisition de la coordination (TAC) in : Geuze RH. Trouble de l’acquisition de la coordination : revue des approches actuelles, Marseille, Solal, 2005. 

2- American Psychiatric Association. DSM IV. Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, «4ème édition». Traduction française par J.D. Guelfi. Paris, Masson, 1995.

3- Billard C, et Touzin M. Troubles spécifiques des apprentissages : l’état des connaissances. Paris, Signes Éditions, 2004.

4- F. Marchal, Dyspraxie, un trouble spécifique des apprentissages (revue « réadaptation » de l’ONISEP), Paris 2008. 

5- Synthèse de la Recommandation de Bonne pratique HAS, février 2018.

6- ALBARET, Jean-Michel, Le Trouble de l’Acquisition de la Coordination (TAC) Laboratoire “Adaptation Perceptivo-Motrice et Apprentissage”–EA 3691, «Institut de Formation en Psychomotricité», Genève, 27 avril 2005.

7- Les troubles du spectre de l’autisme l’évaluation clinique, «du Collège des médecins du Québec et de l’ordre des psychologues du Québec», janvier 2012, page 6. 

8- Organisation Mondiale de la Santé. CIM 10/ICD 10. Classification Internationale des maladies.10ème révision. Chapitre V (F). Troubles mentaux et du comportement. Description clinique et directives pour le diagnostic. Traduction de l’anglais par C.B. Pull. Masson, Paris, 1994. 


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